La tour de BT,à Londres,le 12 février 2024. DANIEL LEAL / AFP C’est une petite éclaircie dans les malheurs financiers de Patrick Drahi. Alors qu’Altice,l’empire de l’homme d’affaires franco-israélien,est menacé par plus de 50 milliards d’euros de dette,dont 24 milliards pour la seule partie française (SFR),BT suscite de nouveaux intérêts.
Réputée pour sa capacité à trancher dans le vif,l’ancienne dirigeante de l’opérateur finlandais Telia et du suédois Tele2 a promis,le 16 mai,lors de la présentation des résultats annuels 2023-2024,de plus que doubler en cinq ans le flux de trésorerie disponible (free cash flow) et d’augmenter le dividende aux actionnaires,alors que le pic des investissements dans la fibre optique est passé et que le plan de réduction des coûts est bien engagé.
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