Un petit port de l’île de Sazan,en Albanie,en avril 2015. HEKTOR PUSTINA / AP « En tant qu’Européens,existe-t-il quelque chose que nous ne voulons pas détruire ? »,s’inquiète Ulrich Eichelmann,directeur de l’organisation Riverwatch. L’écologiste,qui s’est rendu sur place,décrit les tortues,les dunes et les flamants roses qui peuplent cette zone de la côte méditerranéenne. « Il y a eu très peu d’activités humaines autour de ce fleuve. C’est un cas exceptionnel »,explique le chercheur Gilles Pinay.
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