Retraites, assurance-chômage, comptes publics… sont quelques-uns des sujets prioritaires et épineux auxquels va devoir s’atteler le premier ministre.
Si le secteur manufacturier outre-Rhin est moins émetteur que son homologue tricolore, l’Hexagone est avantagé par la production de son électricité moins carbonée, selon une étude du think tank La Fabrique de l’industrie.
La déferlante des sémaglutides, principe actif du fameux médicament coupe-faim Ozempic, bouleverse la vie de millions d’Américains, frappés à 40 % par l’obésité et les maladies qui y sont liées.
Ces individus ont été reconnus coupables d’avoir indûment profité de l’argent public dévolu à la formation des salariés, en délivrant pendant plusieurs années des formations fictives ou aux tarifs surévalués.
Au moins dix femmes et deux hommes sont morts noyés dans la Manche, mardi 3 septembre. C’est le plus lourd bilan établi dans la région depuis le drame survenu en mer le 24 novembre 2021.
Reconnu coupable d’avoir, entre 2015 et 2017, utilisé à des fins personnelles plus de 100 000 euros issus de son enveloppe de frais de mandat, l’ancien député de Paris est condamné à huit mois de prison avec sursis et 60 000 euros d’amende, dont 30 000 euros avec sursis. Il annonce faire appel.
Le fabricant américain de microprocesseurs destinés à l’intelligence artificielle, deuxième capitalisation boursière mondiale, a battu les prévisions des analystes, mais a vu son cours baisser, mercredi.
Une rentrée scolaire dans le flou, l’hôpital en souffrance, la crise du logement… Après plus de cinquante jours de vacance du pouvoir, nombreux sont les secteurs en attente d’une loi, d’un décret ou d’engagements urgents.
Avec un effectif théorique de trente-sept postes, les services des urgences des hôpitaux de l’archipel fonctionnent actuellement avec trois équivalents temps plein chargés de gérer l’accueil, les box des malades, l’unité d’hospitalisation de courte durée et le traitement de l’état de choc.
« L’Afrique, terre de vins » (4/4). Confrontés à des températures très hautes et à un manque d’eau chronique, les producteurs s’adaptent, sans assurance que le vignoble marocain n’y survive.
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